Que fait un porcelet quand il n'est plus emprisonné ni condamné à l'abattoir ? Lexi vous donne la réponse.
Que fait un porcelet quand il n'est plus emprisonné ni condamné à l'abattoir?Lexi vous donne la réponse <3 (démonstration niveau 2 à 0'35"!)Partagez la joie de vivre des animaux au refuge Woodstock Farm Sanctuary!
Posté par L214 Ethique et Animaux sur mercredi 9 mars 2016
Le cuir : un enfer pour les animaux et les enfants au Bangladesh
Leona Lewis, chanteuse et militante pour les droits des animaux, narre ces révélations en vidéo de PETA sur l'industrie du cuir bangladaise qui vaut plusieurs milliards de dollars. Cette vidéo met en lumière ceux qui paient vraiment le prix fort pour la production de cuir « bon marché » : les animaux et les travailleurs, y compris des enfants.
Des transports longs et éprouvants
Chaque année, environ 2 millions de vaches sont attachées, jetées dans des camions et transportées sur des milliers de kilomètres entre l'Inde et le Bangladesh afin de contourner les interdictions sur l'abattage en Inde. La vidéo montre de nombreuses vaches amaigries, épuisées et si affaiblies qu'elles ne pouvaient plus se tenir debout lorsqu'elles arrivaient à destination. Elles souffraient de fractures de la queue et de plaies ouvertes infectées. À aucun moment le témoin n'a vu le moindre soin vétérinaire dispensé aux animaux.
Dépecées vivantes et abattues
Les vaches et les chèvres sont souvent abattues illégalement pour leur peau, la nuit, dans les rues du Bangladesh. Les animaux sont contraints de regarder les autres animaux se faire égorger au couteau. Dans les abattoirs officiels, les travailleurs leur ligotent les pattes et leur tranchent la gorge, cela alors qu'elles sont toujours conscientes. Comme le montrent ces images, les vaches sont parfois encore vivantes et donnent des coups de pattes tandis qu'on leur arrache la peau du corps.
Les travailleurs sont en danger
Les travailleurs, parmi lesquels se trouvent des enfants, ont été filmés en train d'effectuer des taches dangereuses, comme le trempage des peaux dans des produits chimiques et le maniement de couteaux pour découper les peaux. Ces peaux sont ensuite utilisées pour fabriquer des sacs à main, des chaussures et d'autres articles en cuir qui sont vendus partout dans le monde. Les enfants manient même la machinerie. Les travailleurs non-protégés restent pieds nus au milieu des substances cancérigènes et manipulent également des acides qui peuvent provoquer des maladies chroniques de la peau. Environ 90 % des ouvriers tanneurs de ces usines meurent avant l'âge de 50 ans.
Le cuir est un poison
Le témoin a visité plusieurs établissements dans le quartier de Dhaka, où se trouvent plus de 150 tanneries, et il n'y a pas une seule station d'épuration dans tout le périmètre. Les produits chimiques sont déversés dans la rivière la plus proche, tuant les animaux qui vivent dans l'eau et aux alentours et mettant en danger la santé publique.
Vous pouvez aider les animaux et les enfants
Peu importe sa provenance – Bangladesh, Chine, Inde ou même États-Unis – le cuir est le produit d'une industrie cruelle. Leona Lewis veut que vous connaissiez cette réalité et que vous vous engagiez à ne plus porter de peaux animales. Votre signature est une déclaration adressée aux créateurs de mode, aux marques et à tous ceux qui tirent profit de la cruauté, marquant que la place d'une peau est sur le dos de l'animal à laquelle elle appartient, et non dans votre penderie.
Engagez-vous à ne plus porter de cuir !
Combattez la cruauté envers les animaux en vous engageant à ne plus porter ni acheter de cuir et faites le choix éthique de mettre en pratique la compassion et d'épargner des vies animales.
Source : PETA France
Des transports longs et éprouvants
Chaque année, environ 2 millions de vaches sont attachées, jetées dans des camions et transportées sur des milliers de kilomètres entre l'Inde et le Bangladesh afin de contourner les interdictions sur l'abattage en Inde. La vidéo montre de nombreuses vaches amaigries, épuisées et si affaiblies qu'elles ne pouvaient plus se tenir debout lorsqu'elles arrivaient à destination. Elles souffraient de fractures de la queue et de plaies ouvertes infectées. À aucun moment le témoin n'a vu le moindre soin vétérinaire dispensé aux animaux.
Dépecées vivantes et abattues
Les vaches et les chèvres sont souvent abattues illégalement pour leur peau, la nuit, dans les rues du Bangladesh. Les animaux sont contraints de regarder les autres animaux se faire égorger au couteau. Dans les abattoirs officiels, les travailleurs leur ligotent les pattes et leur tranchent la gorge, cela alors qu'elles sont toujours conscientes. Comme le montrent ces images, les vaches sont parfois encore vivantes et donnent des coups de pattes tandis qu'on leur arrache la peau du corps.
Les travailleurs sont en danger
Les travailleurs, parmi lesquels se trouvent des enfants, ont été filmés en train d'effectuer des taches dangereuses, comme le trempage des peaux dans des produits chimiques et le maniement de couteaux pour découper les peaux. Ces peaux sont ensuite utilisées pour fabriquer des sacs à main, des chaussures et d'autres articles en cuir qui sont vendus partout dans le monde. Les enfants manient même la machinerie. Les travailleurs non-protégés restent pieds nus au milieu des substances cancérigènes et manipulent également des acides qui peuvent provoquer des maladies chroniques de la peau. Environ 90 % des ouvriers tanneurs de ces usines meurent avant l'âge de 50 ans.
Le cuir est un poison
Le témoin a visité plusieurs établissements dans le quartier de Dhaka, où se trouvent plus de 150 tanneries, et il n'y a pas une seule station d'épuration dans tout le périmètre. Les produits chimiques sont déversés dans la rivière la plus proche, tuant les animaux qui vivent dans l'eau et aux alentours et mettant en danger la santé publique.
Vous pouvez aider les animaux et les enfants
Peu importe sa provenance – Bangladesh, Chine, Inde ou même États-Unis – le cuir est le produit d'une industrie cruelle. Leona Lewis veut que vous connaissiez cette réalité et que vous vous engagiez à ne plus porter de peaux animales. Votre signature est une déclaration adressée aux créateurs de mode, aux marques et à tous ceux qui tirent profit de la cruauté, marquant que la place d'une peau est sur le dos de l'animal à laquelle elle appartient, et non dans votre penderie.
Engagez-vous à ne plus porter de cuir !
Combattez la cruauté envers les animaux en vous engageant à ne plus porter ni acheter de cuir et faites le choix éthique de mettre en pratique la compassion et d'épargner des vies animales.
LE VIN DE PROVENCE S'ATTAQUE AU MARCHÉ "VEGAN"
Précurseur, le Château Sainte-Marguerite, à la Londe-les-Maures, est le premier domaine varois à produire du vin garanti sans apports d'origine animale. De quoi séduire les végétaliens.
Article du journal VAR MATIN du Mercredi 20 Janvier 2016
Regardez sa joie quand il se rend compte qu'il n'est plus enchaîné !
Bandit, un taureau qui était enchaîné toute sa vie, reçoit un cadeau du ciel, juste avant sa rencontre avec le couteau de boucher... Un homme le rachète et le sauve !
Dance for Freedom
Bandit, a bull who was chained all his life, receives a gift from heaven just before he was scheduled to meet the butcher's knife. Watch his delight when he realizes he is no longer chained <3Courtesy: GUT AIDERBICHL
Posté par Best Video You Will Ever See sur samedi 2 janvier 2016
Choc pour l’industrie : la viande transformée hautement cancérigène dit l’OMS
L’information risque de faire trembler tout un pan de l’industrie agroalimentaire. Les viandes transformées rejoindront prochainement la liste des produits cancérogènes éditée par l’OMS sur le même plan que l’arsenic, l’amiante ou la cigarette.
L’information révélée par le Dailymail risque de faire pas mal de vagues parmi les pontes de l’industrie agroalimentaire. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), via le Centre International de Recherche sur le Cancer s’apprête à revoir ses classifications en matière de viande et son impact sur la santé. Principalement pointées du doigt, les viandes transformées qui constituent hamburgers, saucisses et autres « presque viandes » industrielles. 150 000 personnes décèderaient chaque année de maladies liées à la consommation de ces viandes, uniquement en Angleterre, précise le journal qui a dévoilé l’information.
Aussi dangereux que la cigarette ou l’arsenic
Contrairement au glyphosate (composé principal du Roundup de Monsanto) classé « probablement cancérogène » par l’OMS en mars 2015, la viande transformée se place en tête du classement des produits cancérigènes. Soit le niveau 5 : hautement cancérogène. Ainsi, bacon, hamburgers et saucisses, pour ne citer qu’eux, sont enfin considérés comme une menace avérée pour l’organisme au même titre que la cigarette, l’arsenic où l’amiante. Ceci fait suite à des dizaines d’études scientifiques démontrant des liens entre ces produits et certains cancers. Les chercheurs ont établi des évidences fortes entre la consommation de ces viandes et le cancer du côlon (deuxième cause de mortalité par cancer en Grande-Bretagne), en précisant que 50% des cas pourraient être évités avec un mode de vie plus sain.
Image : Len Rizzi – pour le National Cancer Institute
En pratique, les viandes dites transformées le sont par différentes techniques où interviennent une large gamme de produits chimiques. Ainsi, la liste des produits incriminés risque d’être longue dans un monde où l’essentiel de l’alimentation est industrialisée. On parle ici des jambons industriels, du bacon, du salami, des hot-dogs, des saucisses et, naturellement, des hamburgers. Mais les scientifiques ne s’arrêtent pas là. La viande rouge serait également susceptible de rejoindre officiellement l’encyclopédie des substances cancérogènes, avec un classement cependant moins dangereux que pour les produits transformés. A savoir que la viande rouge est déjà reconnue cancérigène par le World Cancer Research Fund International. On ne parle donc que de son entrée « officielle » dans le classement de l’OMS…
L’industrie nie une nouvelle fois l’évidence
La décision intervient à la suite d’une grande réunion des scientifiques de dix pays où toutes les preuves disponibles furent examinées. Ces recommandations de l’OMS pourraient notamment conduire à de nouvelles directives en matière de diététique ainsi qu’à une modification de l’étiquetage des produits à risque. Ce virage scientifique dans le domaine alimentaire pourrait donner de la crédibilité aux régimes alimentaires légers en viande voire totalement dépourvus.
Mais au-delà de la santé, c’est tout un secteur industriel qui risque d’être chamboulé si les consommateurs prennent l’information à cœur. Le principal lobby américain de la viande (North American Meat Institute) a vivement réagi en estimant que le rapport de l’OMS défiait le sens commun et que d’autres études ne montraient aucun lien entre cancer et viande. Une réaction similaire à Monsanto quelques mois plus tôt quand son Roundup était pointé du doigt par le même organisme. Le Centre International de Recherche sur le Cancer recommande, quant à lui, de faire définitivement une croix sur la consommation de viandes transformées – rejoignant de nombreux organismes scientifiques, dont l’École de Santé Publique de Harvard, l’une des références internationales sur la nutrition. Il conviendra à chacun de faire ses proches choix.
Sources : Mr Mondialisation
dailymail.co.uk
Pas le choix, les Martiens seront vegans !
La NASA souhaite envoyer un premier groupe de 6 à 8 personnes sur Mars dans les années 2030. Au-delà des contraintes matérielles pour le voyage et le logement sur place, il va falloir nourrir ces aventuriers pendant deux ans et demi. La solution proposée par les chercheurs de l’Agence spatiale américaine ? Un régime entièrement végétalien.
Maya Cooper présente la pizza vegan pour Mars (Credits: Michale Stravato/AP)
Le jour où l’homme posera le pied sur Mars approche : la NASA est actuellement en train de planifier la première mission pour 2030. Son dernier point à régler, non pas des moindres, est de nourrir les personnes envoyées sur place ! C’est d’autant plus compliqué qu’en plus du voyage spatial de six mois, les explorateurs arriveront sur une planète hostile à la vie, sans eau, terres fertiles et animaux. L’objectif est qu’ils y restent 18 mois avant de repartir sur Terre. C’est donc pendant deux ans et demi qu’il faudra nourrir ce groupe d’explorateurs.
Pour répondre au problème, un million de dollars est dépensé chaque année par des chercheurs à Houston. Ils passent leurs journées à élaborer les seuls menus envisageables, soit des menus vegans… explications !
La cuisine est plus fade dans l’espace
Chose curieuse, le goût et les odeurs des aliments sont différents dans l’espace à cause de l’effet de la gravité sur nos sens. La cuisine végétalienne, souvent très riche en saveurs part donc à son avantage. Mais ce n’est pas tout ! Il est impossible de conserver des produits comme la viande, le lait ou les œufs durant la durée de la mission, et « emmener une vache sur la mission n’est pas une option » humorise Maya Cooper, la responsable de l’équipe de chercheurs.
Une excellente santé physique est nécessaire
Les astronautes partiront avec une santé de fer et devront la garder tout au long du voyage. L’alimentation sera primordiale. Elle doit fournir un maximum d’énergie sans pour autant entraîner une prise de poids. Chaque aliment devra également être sûr : une intoxication alimentaire pourrait être désastreuse.
Les atouts du régime végétalien sont sans commune mesure avec les autres : aucun risque de cholestérol, de problème sanitaire du type salmonellose, peu de graisses saturées, et une grande source de nutriments essentiels à l’organisme. Et pour les protéines… ? Aucun problème ! Tofu et fruits secs feront parfaitement l’affaire
Les menus doivent aussi être riches et variés pour éviter les baisses de moral…
La NASA a prévu de chouchouter ses explorateurs avec des sushis, pizzas, et bien d’autres, dans un vaste choix d’une centaine de recettes végétaliennes qu’ils pourront réaliser sur la planète rouge. Un besoin plus que nécessaire pour un voyage aussi long, où des petits coups de déprime se feront inévitablement ressentir !
Des astronautes jardiniers et cuisiniers
L’Agence spatiale américaine envisage que les astronautes cultivent de nombreux fruits et légumes afin d’avoir des produits frais à consommer sur Mars. Ils utiliseraient pour cela une solution hydroponique (à la place de la terre) pour planter leurs pouces et n’auraient plus qu’à s’en occuper comme sur notre planète bleue.
Une dizaine de fruits et de légumes ont été choisis pour être amenés sur place : laitue, épinards, carottes, tomates, oignons verts, radis, poivrons, fraises, herbes fraîches et autres choux.
Source : Néoplanète
SIGNER LA PETITION. Cruauté à l’abattoir d’Alès (Une enquête vidéo accablante de la L214)
Caméras dans un abattoir
Une vue directe sur l’enfer
L214 dévoile aujourd’hui une enquête vidéo accablante pour l’abattoir régional d’Alès. Jamais en France, la mise à mort des animaux dans un abattoir n’avait été montrée de façon aussi transparente et détaillée.
SIGNEZ LA PÉTITION : L'ABATTOIR D'ALÈS
Celui qui compara l’Holocauste aux abattoirs
Les débats sont souvent très animés quand on évoque les rapports entres les hommes et les animaux : corrida, chasse, cirques, zoos, viande… Mais faire la comparaison entre les camps d’extermination des Juifs et l’abattage industriel des animaux pourrait relever de l’inconscience… C’est pourtant un grand écrivain juif, Isaac Bashevis Singer, qui en fut l’instigateur.
Elevage de truies, 2013 – © L214 Éthique & animaux
Isaac Bashevis Singer
De nationalité polonaise, Isaac Bashevis Singer a dû fuir le pays vers les Etats-Unis en 1935 à cause de sa religion juive. Reconnu pour son talent, il reçoit le Prix Nobel de Littérature en 1978. Mais cet écrivain est tout aussi célèbre pour son militantisme : en végétarien convaincu, il n’hésite pas à user de comparaisons avec les pratiques du régime nazi envers son peuple pour dénoncer l’exploitation animale.
Isaac Singer fait plusieurs fois le parallèle grâce à ses histoires : dans « Le Pénitent », nous pouvons lire « quand on en vient aux animaux, tout homme est un nazi », et dans « The letter Writer », l’auteur fait même référence à un célèbre camp d’extermination en disant que « dans les relations avec les animaux, tous les gens sont des nazis ; pour les animaux, c’est un éternel Treblinka1 ».
… il y a les personnes qui approuvent ce parallèle…
Campagne publicitaire de Peta » L’Holocauste est dans votre assiette «
En 2004, PETA lance la campagne « L’Holocauste dans votre assiette » en s’appuyant sur les écrits de Isaac Singer et sur le livre de Charles Patterson. Elle met en parallèle des photos des camps d’extermination et des photos d’abattoirs, une campagne interdite par l’Etat allemand.
… et il y a les opposants !
Source : Néoplanète
Charles Patterson reprend l’idée et publie le livre « Un éternel Treblinka », dans lequel il construit un historique des conduites des hommes envers les animaux. Il établit ensuite l’idée que ces comportements servent de modèle à toutes les oppressions humaines possibles. C’est ainsi que les nazis auraient pu rationaliser le processus d’extermination des Juifs : « l’extermination des Juifs et l’abattage des animaux fonctionnent sur le même modèle (…) Ce que nous faisons aux animaux et que la société accepte, cela nous donne la mauvaise habitude de vouloir exploiter les faibles, et malheureusement, quand des humains se retrouvent en position de faiblesse, des réfugiés, des minorités persécutées, on les appelle des animaux et on les traite comme des animaux »2 .
Le président du Conseil central des juifs d’Allemagne a salué l’interdiction du gouvernement en 2012, expliquant que « cette campagne d’affichage banalise l’Holocauste de manière irresponsable ».
D’une façon générale, les opposants condamnent la comparaison entre l’abattage des animaux à des fins alimentaires et celui des prisonniers dans les camps de concentration nazis par crainte qu’elle ne contribue à atténuer la portée de l’antisémitisme. Les Juifs étaient en effet tués parce qu’ils étaient juifs, alors que les animaux sont tués pour être mangés.
Trop tabou pour en parler
Le sujet est si tabou que le débat philosophique est rarement abordé. Les défenseurs des animaux n’hésitent pas à parler de « déni spéciste » lorsque des personnes sont outrées de cette comparaison. Le spécisme est le fait de placer l’espèce humaine au dessus des animaux, ce qui lui offrirait des avantages et des droits sans qu’ils soient justifiés. Mais au-delà de cette idée, il semble naturel que l’espèce humaine ait plus d’empathie pour sa propre espèce que pour les autres.
Isaac Bashevis Singer a eu la chance de ne pas faire partie des plus de cinq millions de Juifs tués par les nazis. Loin de vouloir asservir ses origines avec son militantisme contre l’exploitation animale, il rend hommage au peuple juif grâce à ses livres écrits en yiddish, la langue couramment parlée par les communautés juives d’Europe à la veille de la seconde Guerre Mondiale.
1 Treblinka est un des camps d’extermination nazi situé en Pologne dans lequel ils faisaient croire aux prisonniers qu’ils arrivaient dans une vraie gare pour se présenter à la désinfection, avant de repartir pour un autre camp de travail.
2 Interview de Charles Petterson par François Noudelmann dans France Culture, 2008.
Des organes humains sur une puce : La fin des tests de médicaments sur les animaux ?
Même le réalisateur de la saga Retour vers le Futur n’y avait pas pensé… Nous sommes en 2015, et vous pourrez bientôt vous balader avec un cœur humain microscopique dans la poche, ou du moins, si vous êtes chercheur en pharmacologie ! Et ce, grâce au BOC, une nouvelle technologie qui permet de reproduire les organes de notre corps sur une puce, afin de tester des médicaments.
Cette innovation est soutenue par l’Union Européenne et vient de recevoir le Prix du meilleur produit design de l’année 2015. Imaginé par les biologistes Donald Ingber et Dan Dongeun, de l’Institut Wyss de l’université de Harvard, le « Body-On-a-Chip » (BOC), est l’aboutissement de sept années de recherches et semble être l’avenir de la pharmacologie.
Des organes humains à l’échelle microscopique
Le BOC est une puce en silicone mi-artificielle mi-biologique. Elle est translucide, à double face, et sa taille ne dépasse pas celle d’une clé USB. Son système permet de recréer un environnement propice aux simulations d’infections dans le corps humain : le BOC renferme du sang (ou un liquide qui en imite l’action), et possède de minuscules canaux faisant office de vaisseaux sanguins, reproduisant artificiellement les pulsations du cœur. Ainsi, les scientifiques peuvent injecter les cellules bactériennes et les médicaments à tester dans les différents canaux, puis, tout simplement observer ce qu’il se passe au microscope avec les globules blancs1.
La fin des tests de médicaments sur les animaux
A chaque organe humain correspond une puce avec des cellules vivantes homologues. Cela permet de réaliser des tests plus précis et beaucoup plus vite qu’à l’habitude. Mais au-delà des gains de temps et d’argent pour l’industrie pharmaceutique, cette innovation permettrait d’arrêter tous les tests de médicaments sur les animaux et donc d’épargner, chaque année, des millions de vies. Une avancée scientifique non négligeable aussi parce que, comme l’explique la biologiste Géraldine Hamilton, « des différences biologiques fondamentales persistent entre humains et animaux ».
Une commercialisation prévue en 2016
« Malgré les nombreuses possibilités qu’offre cette technologie, elle n’en est qu’à ses balbutiements, de nouvelles recherches sont encore nécessaires avant qu’elle ne soit utilisée de manière systématique », estime le Dr Anthony Holmes du Centre national anglais pour la fin des expérimentations animales (NC3Rs).
La start-up Emulate prévoit tout de même le lancement de la puce pour l’année 2016. Elle espère ensuite pouvoir recréer un corps artificiel complet en associant chacune des puces entre-elles.
Source : Néoplanète
« Les bons chrétiens » ne mangeraient pas de viande
Même si Darren Aronofksy a voulu en faire une allégorie symbolique dans son dernier film, Noé n’était pas végétarien. Les cathares oui. Zoom sur ce peuple se réclamant du Christ mais persécuté par l’Église catholique.
Photo Creative Commons
L’expulsion des habitants de la ville de Carcassonne en 1209, miniature extraite d’un manuscrit des Grandes Chroniques de France.
Imaginez le sud de la France au XIIème siècle : c’est l’époque médiévale et le territoire est partagé entre plusieurs royaumes ; le tout s’unifie autour de la sainte couronne du Pape. L’Église catholique, telle une prêtresse, règne en force, et gare à ceux qui pourraient contredire son autorité. Malheureux soient les cathares qui seront jugés infâmes hérétiques !
Appelés les « bons chrétiens » ou les « Parfaits », cette communauté respectait littéralement les enseignements tirés des Évangiles et s’abstenait, en conséquence, de « tout ce qui fait gras », c’est-à-dire de la viande, des œufs, des laitages et de toute graisse animale (très utilisée pour les cuissons à l’époque). Ils voyaient le monde sous un prisme manichéen, avec Dieu d’un côté, symbole de l’esprit, et Satan de l’autre, représentant du corps et de la matière. La création du monde se serait produite sous l’union des deux oppositions : notre corps (la matière) serait ainsi la source du mal, depuis laquelle notre esprit devrait s’élever (en respectant rigoureusement les lois évangéliques) pour espérer le salue de Dieu et l’entrée au Paradis.
Refus catégorique d’être violent contre une créature « ayant du sang »
Les cathares étaient farouchement opposés aux principes hiérarchiques de l’Église catholique romaine et à sa façon de vivre dans la richesse. À ce refus de la hiérarchie, l’égalité des sexes était de coutume chez eux, chose scandaleuse aux yeux du Pape, qui pensait que la femme (sans remettre en cause sa dignité) était incapable d’exercer certaines professions, comme la transmission de l’enseignement catholique.
Le régime alimentaire cathare s’explique par une volonté de garder un corps pur et de respecter la vie : ils avaient peur de manger un être vivant doté d’une âme, et estimaient fort probable que les animaux en ait une. En ce sens, manger de la viande était inconcevable et s’apparentait à de la sauvagerie. Mais ils consommaient des poissons et des crustacés. Chose que l’on pourrait aujourd’hui prendre pour une incohérence, mais qui s’explique simplement par le fait qu’à cette époque, les hommes pensaient que les poissons ne se reproduisaient pas. Ils étaient alors perçus de la même manière que l’on perçoit les légumes aujourd’hui.
Végétariens, anti-hiérarchistes, vivant dans la pauvreté et partisans de l’égalité des sexes… Ces « bons chrétiens » ne furent que des hérétiques aux yeux des catholiques qui n’en firent d’une bouchée ! L’ironie du sort veut que ce soit le Pape Innocent III qui envoya des combattants purger le pays des « Parfaits ».
Pour la première fois, une croisade est alors menée contre des personnes se réclamant du Christ. La « Croisade des Albigeois » fut sans vergogne, mettant fin à l’hérésie religieuse… et les catholiques ont ainsi pu continuer à prôner de belles valeurs sans se sentir coupable de ne pas les appliquer !
Source : Néoplanète
Google a faim de burgers végétariens
La quête du burger parfait sans passer par la case abattoir ? C’est la nouvelle tendance des investisseurs de la Silicon Valley.
Yolaine de la Bigne, reprend sa place derrière le micro de Sud Radio ! Retrouvez-la chaque matin du lundi au vendredi, dans « Un monde plus vert », une chronique rediffusée à 17h27 et à écouter sur notre webradio tous les jours à 9h45, 13h30, 15h45 et 19h45 !
On parle beaucoup de végétarisme au point d’intéresser Google ! Quel rapport avec la firme américaine?
Google renifle les tendances qui peuvent être rémunératrices, or le marché du végétarisme explose en effet pour différentes raisons notamment parce que l’industrie de la viande est très gourmande en déforestation, eau et énergie afin de nourrir les animaux enfermés dans les stabulations. Du coup, cet été, la firme américaine a en effet créé la surprise en voulant racheter la start-up Impossible Foods spécialisée dans le hamburger sans viande.
Un burger sans viande, mais avec quoi alors ?
Il sera fabriqué à partir d’une viande artificielle et Impossible Foods nous promet « la meilleure viande et le meilleur fromage que vous n’avez encore jamais mangés ». Viande et fromage entièrement créés à partir de plantes. Le goût de la viande rouge sera répliqué grâce à la fabrication de « sang végétal », créé à partir de la molécule trouvée dans l’hémoglobine. Pas très appétissant en le disant, il parait que ça va mieux en le mangeant, mais pour goûter il va falloir attendre, la commercialisation n’aura pas lieu avant l’année prochaine !
Cela reste pourtant étonnant que ce marché intéresse Google car ça n’a vraiment rien à voir avec ses activités !
Pourtant ce n’est pas la première fois que la société américaine s’intéresse à la nourriture végétarienne. En 2013, son co-fondateur avait financé à hauteur de 250 000 euros les expériences du chercheur Mark Prost qui a mis au point la première viande synthétique. Cette fois-ci, le géant du net aurait proposé entre 200 et 300 millions de dollars à Impossible Foods qui a refusé, expliquant que la somme est insuffisante face à l’ampleur du phénomène et des gains à venir. Et elle n’a certainement pas tort ! Car ces derniers temps, les entreprises de la Silicon Valley bavent beaucoup sur la nourriture végétarienne qui attire de plus en plus les plus puissants, comme Bill Gates ou Tony Fadell, inventeur de l’i-Pod. On estime que la demande en produits carnés augmentera de 73% d’ici à 2050, or il n’y aura jamais assez de terres pour fournir une telle quantité d’animaux. Il faudra donc utiliser une viande de synthèse pour assouvir la demande, ce qui met en appétit les investisseurs ! A suivre…
Source : Néoplanète
Biscuits végétaliens disponibles en supermarché
Aurélie du site Maman Vegane nous propose une vidéo où sont répertoriés 100 produits (biscuits et autres sucreries) végétaliens dans les rayons des supermarchés.
Une liste à conserver précieusement.
Un grand merci à Aurélie pour ce travail
Sa chaîne YouTube : Maman Végane
Vous voulez arrêter la faim dans le monde ? Devenez végétalien.
70% des récoltes de céréales servent présentement à engraisser le bétail.
On en importe même d'Afrique.
1 steak = 50 bols de céréales. 1 steak = 1500 L d'eau.
En plus d'être l'industrie qui contribue le plus aux changements climatiques.
Inscription à :
Articles (Atom)